Des canards en mousse. Ca existe ça, des canards en mousse?
Je sais pas, je sais plus, on dirait que je confond avec quelque chose d'autre. J'aimerais dire qu'on s'en fout. Mais ça parait un peu facile. Facile. Pourquoi facile c'est mal? J'aime bien quand c'est facile. Je préfère, même. A part les filles. Enfin quoique. J'aime bien les filles faciles. Pas trop longtemps, mais j'aime bien. Mais ça on s'en fout aussi, cela dit.
S'en foutre, c'est deja pas mal. S'en foutre, compte tenu des circonstances, c'est même plutôt couillu. Tout le monde est là, en train de dire : " Je ne demande qu'à m'en foutre !"
Mais en vrai, pas grand monde y arrive, à s'en foutre, s'en foutre vraiment. Foutre. Marrant comme mot. L'appel du sérieux, "voyons, un peu de sérieux", ce genre de phrase qu'on entend parfois, des mains dans des gueules, ça se perd, ça démange, souvent.
C'est pas que je comprend pas, les gens le monde tout ça. Je comprend, mais j'aime pas. Ca grouille, ressemble à une pantalonnade forcée, sur-jouée et diluée jusqu'à une sorte d'écoeurement insipide.
Je sais pas si je m'exprime clairement. T'écoutes par exemple un vieux, plus près du siphon que n'importe qui, cloturant la spiral de sa vie si je puis parler ainsi. Ca gagote, ça radote, ça a genre trois chicos qui font bander personne, bref t'as fait le tour du tableau en quelques minutes. Et encore, si t'es un passionné.
Eh bien là c'est pareil, c'est chiant, t'as pigé le truc, mais ça dure, des siècles et des millénaires. Ca se répete, comme fier de sa propre nullité, ça se multiplie et ça grouille de plus bel. Les gens. Et ça recommence les mêmes schémas éculés, manger chier dormir, baiser si possible, se faire baiser mais dire qu'on aime pas ça, et puis re-belote le jour suivant, et encore, et encore, putain mais arrêtez !
Bref, comme sus-cité, s'en foutre, c'est déja pas mal.
Et c'est pas facile.
Je sais pas, je sais plus, on dirait que je confond avec quelque chose d'autre. J'aimerais dire qu'on s'en fout. Mais ça parait un peu facile. Facile. Pourquoi facile c'est mal? J'aime bien quand c'est facile. Je préfère, même. A part les filles. Enfin quoique. J'aime bien les filles faciles. Pas trop longtemps, mais j'aime bien. Mais ça on s'en fout aussi, cela dit.
S'en foutre, c'est deja pas mal. S'en foutre, compte tenu des circonstances, c'est même plutôt couillu. Tout le monde est là, en train de dire : " Je ne demande qu'à m'en foutre !"
Mais en vrai, pas grand monde y arrive, à s'en foutre, s'en foutre vraiment. Foutre. Marrant comme mot. L'appel du sérieux, "voyons, un peu de sérieux", ce genre de phrase qu'on entend parfois, des mains dans des gueules, ça se perd, ça démange, souvent.
C'est pas que je comprend pas, les gens le monde tout ça. Je comprend, mais j'aime pas. Ca grouille, ressemble à une pantalonnade forcée, sur-jouée et diluée jusqu'à une sorte d'écoeurement insipide.
Je sais pas si je m'exprime clairement. T'écoutes par exemple un vieux, plus près du siphon que n'importe qui, cloturant la spiral de sa vie si je puis parler ainsi. Ca gagote, ça radote, ça a genre trois chicos qui font bander personne, bref t'as fait le tour du tableau en quelques minutes. Et encore, si t'es un passionné.
Eh bien là c'est pareil, c'est chiant, t'as pigé le truc, mais ça dure, des siècles et des millénaires. Ca se répete, comme fier de sa propre nullité, ça se multiplie et ça grouille de plus bel. Les gens. Et ça recommence les mêmes schémas éculés, manger chier dormir, baiser si possible, se faire baiser mais dire qu'on aime pas ça, et puis re-belote le jour suivant, et encore, et encore, putain mais arrêtez !
Bref, comme sus-cité, s'en foutre, c'est déja pas mal.
Et c'est pas facile.